Posté par be Api le 17/04/2018

Après la médaille (Agritechnica 2015) et les préséries testées en Russie et au Kazakhstan, la technologie AmaSpot est désormais au catalogue du constructeur, plus précisément sur deux appareils trainés de sa gamme UX (4200 l et 5200 l) en 24 m. Le traitement ciblé de mauvaises herbes disséminées dans des chaumes est permis par la combinaison des capteurs GreenSense et de buses PWFM à pulsation électrique. Les capteurs de florescence reconnaissent la chlorophylle et sont ainsi en mesure de différencier les plantes vertes du sol nu. Chaque capteur disposé tous les 1 m visualise 4 bandes de 25 cm. 25 cm : c’est précisément le pas des buses sur la rampe AmaSpot. Et pas n’importe quelles buses, des buses à pulsation électrique et à injection d’air. En jouant sur la largeur d’impulsion et sur la fréquence d’impulsion, cette technologie offre la possibilité de faire varier le débit de chaque buse, sinon de couper chaque buse individuellement, le tout avec une pression et une taille de gouttelettes constantes, garantes de la qualité d’application.

Jusqu’à 20 KM/h, de jour comme de nuit

Traitement par tache sinon en plein, combiné ou pas à une modulation de dose buse à buse constituent les applications pratiques d’AmaSpot, Selon le constructeur, la méthode de mesure par fluorescence est à la fois précise, réactive et tolérante à la poussière et aux différentes conditions de luminosité. L’AmaSpot est efficace de jour comme de nuit à une vitesse de travail pouvant atteindre 20 km/h.